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10 indices que la saison de motoneige approche
Dès la fin de semaine de la fête du Travail, les motoneigistes de l’Ontario y pensent. À l’Action de grâce, ça devient encore plus fort. Le temps des Fêtes venu, ils brûlent d’envie de prendre d’assaut les sentiers de la Fédération ontarienne des clubs de motoneigistes (OFSC). Et la solution, c’est d’y aller dès que les sentiers sont ouverts!
Pendant ces longs mois d’attente, vous tentez par tous les moyens de faire démarrer votre motoneige et vous cherchez tout indice qui vous dira que la saison de motoneige arrive! Voici dix façons de prendre votre mal en patience.
On va au salon de la motoneige
Se retrouver avec une grosse gang de motoneigistes : ça, ça rend tout motoneigiste de bonne humeur! Ou découvrir l’équipement et les accessoires de l’année. Ou parler des destinations de motoneige. Ou parler de l’expédition de l’année dernière. On peut le faire pendant les salons – à Toronto (Toronto International Snowmobile Show du 20 au 22 octobre), Drrrrrrrumondville (Salon national quad-motoneige du 19 au 22 octobre), Québec (Grand salon de la motoneige et du quad, 2 au 4 novembre) ou Peterborough (Sledarama Snowmobile Show & Swap Meet le 19 novembre)... (Dates de 2018)
On sort les magazines de motoneige
L’automne c’est le seul temps de l’année où l’on attend impatiemment le facteur. Qui aurait dit que les motoneigistes doivent compter sur Postes Canada pour apaiser leurs esprits? Ce qui compte, ce sont les éditions d’automne de nos magazines de motoneige favoris, notamment celles de Supertrax et de Go Snowmobiling Ontario, offerts dans un forfait avec l'achat des droits d’accès de l’OFSC.
On s’inscrit aux cours de conduite
Quand on est la seule personne de la famille à être accro à l’hiver et que le plaisir de l’attente n’est pas partagé, l’automne est franchement moins emballant. Les enfants sont pourtant des alliés potentiels. Ils sont pleins d’enthousiasme, surtout quand ils passent le cap des 12 ans : ils peuvent s’inscrire aux formations que l’OFSC propose aux jeunes motoneigistes. Des dizaines de milliers de jeunes ont suivi ce cours en classe, qui leur donne droit au permis de motoneigiste — donc de conduire une motoneige avant d’avoir un permis de conduire. Et ça, ça permet d’avoir beaucoup de plaisir, dans la neige, en famille!
On nourrit le BUZZ dans les réseaux sociaux
L’automne, c’est aussi le temps de retrouver ses vrais amis. Les réseaux sociaux buzzent : plus récentes rumeurs, souvenirs des hivers précédents, spéculation sur tout ce qui touche la motoneige et promesses de temps froid et enneigé. C’est un bon moyen de s’apaiser avant la première neige. Si votre mur ne présente pas majoritairement du contenu lié à la motoneigem, changez d’amis. Ou, plus simplement, abonnez-vous à des pages Facebook comme celles de Go Snowmobiling Ontario, What A Ride et Intrepid Snowmobiler.
On visite un concessionnaire
On aime les salons de la motoneige, mais aussi les portes ouvertes chez le concessionnaire! Vous êtes fidèle à une marque, allez visiter votre concessionnaire préféré, où vous trouverez d’autres personnes aussi mordues que vous! C’est comme un sanctuaire, avec les véhicules et l’équipement de l’année. C’est comme les plats réconfortants que prépare une maman : personne ne sait faire mieux! En plus, pendant des portes ouvertes, il y a souvent de bons prix. Trouvez un concessionnaire en suivant ces liens : Arctic Cat, Polaris, Ski-Doo, Yamaha ou cliquez ici pour trouver une liste de tous les concessionnaires de l’Ontario.
On collectionne les cartes des sentiers
On a beau rêver, ces rêves deviennent encore plus concrets lorsqu’on a une carte des sentiers entre les mains. L’automne, c’est la bonne saison pour collectionner les cartes! Allez en chercher dans les salons de la motoneige, chez votre concessionnaire, dans votre club de motoneige local ou dans un centre d’information touristique. Si vous êtes sur la liste d’envoi du magazine Go Snowmobiling Ontario de l’OFSC, votre carte des sentiers de l’année vous sera postée avant les Fêtes. Vous ne voulez pas attendre? Allez sur le site internet et rêvez grand en parcourant les 30 000 km de sentiers et les 35 circuits de motoneige qu’on trouve sur la carte interactive de la Fédération. Une appli doit être rendue disponible en décembre!
On aide à la préparation des sentiers
Si vous avez vraiment hâte d’aller dans les sentiers, n’attendez pas qu’il y ait de la neige! Passez une journée à aménager les sentiers avec votre club local. C’est un excellent moyen de vivre rapidement et efficacement les plaisirs de la motoneige! Vous serez avec d’autres personnes tout aussi passionnées de la motoneige que vous! En plus, vous aurez la satisfaction d’avoir contribué à préparer les sentiers pour la saison.
On suit la météo
Même si nos esprits rationnels savent bien que les prévisions à long terme ne sont pas toujours fiables, on peut toujours rêver d’une magnifique saison. On commence à regarder les prévisions météo dès la fin de l’été, on les partage religieusement, sans nous laisser décourager si elles ne correspondent pas à nos attentes. Certains d’entre nous aiment tellement ça qu’ils font leurs propres prévisions! C’est le cas de Jeff McGirr, qui fait annuellement ses prévisions en consultant Environnement Canada, l’almanach et d’autres observateurs de la nature.
On astique notre motoneige
Plus l’hiver approche, plus les motoneigistes passent du temps auprès de leur motoneige. On bricole, on se prépare : on entre physiquement en contact avec notre motoneige. Ça nous apaise. De façon pratico-pratique, quand on donne un peu d’amour automnal à notre motoneige, on est prêt à passer à l’action dès que les sentiers sont ouverts! Le voisin pensera ce qu’il voudra!
On achète nos droits d’accès
C’est le signe par excellence que la saison est à nos portes. On accueille la mise en vente des permis par la Fédération comme une preuve de notre amour pour l’hiver. Acheter un permis tôt, c’est faire une profession de foi envers l’hiver. Comme le chantait Tom Petty : « I won’t back down. »
En contribuant financièrement à notre loisir préféré, on permet aux clubs de motoneige de payer de 75 à 80 % des dépenses consacrées l'automne aux sentiers. Et si ça, ce n’est pas signe qu’on a confiance dans l’hiver, je me demande ce qui l’est.